le bon, la brute et le truand du SEO

Règlement de comptes à SEO City

D'après Woody Allen, 80% du succès réside dans le fait d’être vu. Le marketing en 2015 n'est pas vraiment différent. Vous devez être visible lorsque vos clients cherchent vos produits ou vos services sur les moteurs de recherche, lorsque l'on parle de vous sur les réseaux sociaux ou lorsque vous recevez des avis et des commentaires de la part de clients. Si vous n'y êtes pas, d'autres le seront à votre place, qu'ils soient bons, brutes ou truands...

Pourquoi devez-vous être visible ?

Pour un film, faire des entrées signifie faire du cash. Pour un site web, être visible peut aussi représenter du cash :

  • 80% des consommateurs recherchent des informations sur un produit ou un service avant de l'acheter,
  • 70% lisent d'abord les commentaires en ligne avant de prendre leur décision d'achat,
  • 68% des consommateurs commencent leur acte d'achat avec la recherche d'un mot clé,
  • Les sites web qui bloguent régulièrement reçoivent 55% de trafic en plus et 80% de prospects en plus par rapport à ceux qui ne bloguent pas,
  • 70% des clics de recherche sont organiques.

Et c'est un fait, dès que nous avons besoin de recueillir des informations sur un produit ou sur un service, nous ouvrons Google, nous interrogeons nos réseaux d'amis, nous parcourons les blogs avant de prendre la moindre décision d'achat.

Pourtant, de nombreuses marques ratent encore les opportunités que peuvent leur offrir les moteurs de recherche, les blogs et les médias sociaux. Ces entreprises ne parviennent pas à être visible quand les consommateurs recherchent des informations. Ainsi, au moment de la prise de décision d'achat, elles ne sont pas présentes et les consommateurs se tournent vers leurs concurrents.

Etes-vous visible ?

Faites ce petit test rapide sur votre ordinateur et sur votre téléphone portable :
Ouvrez Google et tapez deux ou trois mots clés qui décrivent le mieux vos produits ou vos services.
Ne trichez pas, n'utilisez pas vos mots-clés mais des termes plus génériques.

Si vous n'apparaissez pas dans les résultats proposés, alors les consommateurs ne vous trouveront pas et vous n'existez pas. Si vous ne parlez pas à vos clients potentiels, vous n'êtes pas concerné. Sans un contenu de qualité, vous êtes ennuyeux.

Dans un monde où 80% des consommateurs recherchent sur le web des informations sur un produit avant de l'acheter, être invisible est la mort assurée.

Vos ventes sont-elles en baisse ou stagnent-elles malgré la flambée de vos investissements publicitaires ? Si oui, c'est sans doute parce qu'environ 0,10% des personnes cliquent sur les bannières publicitaires aujourd'hui. Ainsi, d'après les chiffres de l'industrie publicitaire, charges pour «impressions», un tiers des bannières ne sont pas vues par les humains. Environ 86% des téléspectateurs zappent les publicités télévisées et 44% du publipostage n'est jamais ouvert.

Le marketing en 2014 ne consiste pas à interrompre le consommateur lorsqu'il profite du contenu. Il faut être ce contenu !

La bonne nouvelle est que les nouveaux outils numériques ont permis aux particuliers et aux entreprises de gagner de l'argent en ligne sans investissement significatif pour démarrer leur activité et la promouvoir. Les barrières à l'entrée n'existent plus, le marketing s'est démocratisé.

Evitons de fâcher le sheriff Google

Il existe sans doute de multiples raisons pour lesquelles vous n'utilisez peut-être plus les canaux de marketing entrants (comme le SEO, les blogs, les médias sociaux et les newsletters) pour trouver des prospects. Vous pourriez avoir essayé, avoir été déçu puis avoir renoncé. Et pourtant, ce n'est pas que le marketing entrant ne fonctionne pas pour vous, c'est même l'inverse; vous ne l'avez pas fait fonctionner pour vous.

Vous pourriez même avoir eu des ennuis avec Google alors que vous n'y êtes pour rien. Il est vrai aussi que choisir d'externaliser votre campagne SEO auprès de cette agence du Turkménistan qui vous garantissait la première page de Google pour vos 10 mots clés pour quelques centaines de dollars n'était pas un choix des plus judicieux.

J'ai eu la chance d'interviewer un certain nombre de spammeurs SEO dans ma carrière en tant que journaliste. Malheureusement, ils partagent tous la même obsession pour l'argent facile, le mépris pour les internautes obligés de consommer leur contenu de piètre qualité et la croyance étrangement irrationnelle qu'ils seront toujours en mesure de travailler en dehors des lois.

La bonne nouvelle est que les personnes qui utilisent une approche intelligente du SEO en profiteront effectivement beaucoup plus sur la durée que ceux qui utilisent les méthodes brutes et les tactiques d'optimisation risquées.

Le bon, la brute et le truand du SEO

Durant de nombreuses années, certains "pros" du SEO ont contribué à générer du spam et ont produit un contenu de très faible qualité (pour rester poli). Ils ont pollué les annuaires, bourré les pages de contenu avec des mots clés, spammé les blogs avec des commentaires bidons, acheté et négocié des liens en pagaille etc. Même si c'était mauvais, et parfois très laid, cela a fonctionné car Google le tolérait. C'était la bonne époque du Far West du SEO.

En 2011, Google a publié son premier filtre anti-spam appelée Panda. Jusque là, vous pouviez obtenir la première page de Google en achetant des liens et en affichant des tonnes de contenu de très faible qualité. Mais les mises à jour des algorithmes de Google, aussi bien Panda que Penguin, ont rendu caduques ces vieilles tactiques moisies de fripouille du SEO.

Pour comprendre comment l'algorithme de recherche fonctionne pour afficher votre contenu sur Google (ou sur Facebook), il faut comprendre que le shériff a changé les règles du jeu et nous ne pouvons plus être simplement préoccupé par les "mot-clés". Au lieu de cela, nous devons optimiser notre contenu pour nous rapprocher de ce qui a été saisi dans la barre de recherche.

L'algorithme de Google est essentiellement une machine qui s'efforce de penser comme un humain. Ainsi, ce sont un très grand nombre de facteurs - comme par exemple la réputation de l'auteur - qui déterminent en grande partie la façon dont Google décide de ce qui sera affiché dans les premiers résultats.

Au lieu de courir après l'algorithme de Google, devancez-le en ne vous préoccupant que de l'expérience utilisateur. En 2014, les marketeurs ont besoin d'aligner leur stratégie mot-clé sur l'ensemble du parcours de l'utilisateur, en insistant sur le lien entre le contenu et l'intention (c'est à dire le mot-clé) à travers un profilage méthodique d'audience, la recherche et l'analyse.

Le bon : SEO "white hat"

Le bon, la brute et le truand du SEO

La clé du succès dans le SEO est de se focaliser sur la qualité : du contenu optimisé, du contenu de qualité et la qualité des relations. Avec de la qualité, les utilisateurs et les algorithmes seront toujours de votre côté et pour longtemps.

Contenu optimisé : Optimiser son site web afin que les robots des moteurs de recherche comprennent quelle en est la thématique est une des techniques SEO "on-page" que vous devez appliquer.

Contenu de qualité : Créer un contenu de qualité pour votre cible est à la fois source de partage et de crédibilité. N'hésitez pas à en abuser !

Qualité des relations : Bâtir de vraies relations avec d'autres professionnels de votre secteur permet d'amplifier le partage de votre contenu et augmente vos chances de gagner des backlinks de qualité vers votre site web.

La brute : SEO "Black hat"

Le bon, la brute et le truand du SEO

Le temps s'est arrété en 2011 pour de nombreuses agences de référencement et de consultants SEO. Chaque jour, une nouvelle entreprise propose des prestations SEO à un tarif défiant les lois de la nature (et sans garantie de résultats) pour vous afficher sur la première page de Google pour un certain nombre de mots-clés. Ils vivent encore dans ces villes fantômes de ces vieux westerns.

Le résultat immédiat peut être flatteur mais au final, c'est carrément désastreux si l'une des pratiques suivantes est impliquée :

Achat de liens : Participer à tout type de système d'achat de liens. Payer pour les liens est une violation majeure des Conditions d'Utilisation de Google (coucou Nextlevel ^^).

Acquérir des liens de faibles qualité : Créer manuellement des centaines de backlinks de faibles qualité dans des annuaires ou dans des commentaires. Google n'est pas dupe; le sheriff vous a dans son viseur.

Rotation d'articles : Réécrire et republier du contenu de faible qualité à grande échelle sur le web. Ces liens sont inutiles et à bannir.

Le truand : SEO "spam"

Le bon, la brute et le truand du SEO

Le spam existe sous de nombreuses formes du côté obscur d'Internet et il s'est propagé comme une maladie honteuse se répend dans un saloon. C'est un gros problème pour Google qui cherche constamment de filtrer le spam de ses résultats de recherche. Vous pouvez vous retrouver en position de spammeur et d'être blacklisté de l'index de Google si vous pratiquez l'une des tactiques de SEO spam ci-dessous :

Faux comptes, avis et commentaires : Vous pouvez également être poursuivi et condamné à une amende pour ce type de pratiques.

Contenu spammy : Ces techniques des années 90 comprennent le bourrage de mots clés, les pages satellites ou encore les textes cachés ou invisibles.

Blogs  : Monter des blogs avec du contenu volé ou dupliqué avec des milliers de pages inutiles. Ces sites existent pour la monétisation et n'apportent aucune valeur ajoutée pour l'utilisateur.

Conclusion

Nous sommes en 2014 et la ruée vers l'or du SEO est terminée. Les saloons, les ranchs et les as de la gâchette n'ont plus court et c'est vraiment mieux. Ceux qui regrettent cette période vivent sans doute leurs derniers instants sur le web. Aujourd'hui, c'est l'utilisateur qui doit être la priorité en lui proposant un contenu de qualité.

Pour résumer tout ceci, je dirais qu'il faut avoir en permanence en tête le tryptique contenu, qualite et utilisateur pour avoir un bon référencement en 2014. Qu'en pensez-vous ? Quelle est votre ressenti à ce sujet ? Partageons nos retours d'expérience dans les commentaires.

D'après Woody Allen, 80% du succès réside dans le fait d’être vu. Le marketing en 2015 n'est pas vraiment différent. Vous devez être visible lorsque vos clients cherchent vos produits ou vos services sur les moteurs de recherche, lorsque l'on parle de vous sur les réseaux sociaux ou lorsque vous recevez des avis et des commentaires de la part de clients. Si vous n'y êtes pas, d'autres le seront à votre place, qu'ils soient bons, brutes ou truands...

Pourquoi devez-vous être visible ?

Pour un film, faire des entrées signifie faire du cash. Pour un site web, être visible peut aussi représenter du cash :

  • 80% des consommateurs recherchent des informations sur un produit ou un service avant de l'acheter,
  • 70% lisent d'abord les commentaires en ligne avant de prendre leur décision d'achat,
  • 68% des consommateurs commencent leur acte d'achat avec la recherche d'un mot clé,
  • Les sites web qui bloguent régulièrement reçoivent 55% de trafic en plus et 80% de prospects en plus par rapport à ceux qui ne bloguent pas,
  • 70% des clics de recherche sont organiques.

Et c'est un fait, dès que nous avons besoin de recueillir des informations sur un produit ou sur un service, nous ouvrons Google, nous interrogeons nos réseaux d'amis, nous parcourons les blogs avant de prendre la moindre décision d'achat.

Pourtant, de nombreuses marques ratent encore les opportunités que peuvent leur offrir les moteurs de recherche, les blogs et les médias sociaux. Ces entreprises ne parviennent pas à être visible quand les consommateurs recherchent des informations. Ainsi, au moment de la prise de décision d'achat, elles ne sont pas présentes et les consommateurs se tournent vers leurs concurrents.

Etes-vous visible ?

Faites ce petit test rapide sur votre ordinateur et sur votre téléphone portable :
Ouvrez Google et tapez deux ou trois mots clés qui décrivent le mieux vos produits ou vos services.
Ne trichez pas, n'utilisez pas vos mots-clés mais des termes plus génériques.

Si vous n'apparaissez pas dans les résultats proposés, alors les consommateurs ne vous trouveront pas et vous n'existez pas. Si vous ne parlez pas à vos clients potentiels, vous n'êtes pas concerné. Sans un contenu de qualité, vous êtes ennuyeux.

Dans un monde où 80% des consommateurs recherchent sur le web des informations sur un produit avant de l'acheter, être invisible est la mort assurée.

Vos ventes sont-elles en baisse ou stagnent-elles malgré la flambée de vos investissements publicitaires ? Si oui, c'est sans doute parce qu'environ 0,10% des personnes cliquent sur les bannières publicitaires aujourd'hui. Ainsi, d'après les chiffres de l'industrie publicitaire, charges pour «impressions», un tiers des bannières ne sont pas vues par les humains. Environ 86% des téléspectateurs zappent les publicités télévisées et 44% du publipostage n'est jamais ouvert.

Le marketing en 2014 ne consiste pas à interrompre le consommateur lorsqu'il profite du contenu. Il faut être ce contenu !

La bonne nouvelle est que les nouveaux outils numériques ont permis aux particuliers et aux entreprises de gagner de l'argent en ligne sans investissement significatif pour démarrer leur activité et la promouvoir. Les barrières à l'entrée n'existent plus, le marketing s'est démocratisé.

Evitons de fâcher le sheriff Google

Il existe sans doute de multiples raisons pour lesquelles vous n'utilisez peut-être plus les canaux de marketing entrants (comme le SEO, les blogs, les médias sociaux et les newsletters) pour trouver des prospects. Vous pourriez avoir essayé, avoir été déçu puis avoir renoncé. Et pourtant, ce n'est pas que le marketing entrant ne fonctionne pas pour vous, c'est même l'inverse; vous ne l'avez pas fait fonctionner pour vous.

Vous pourriez même avoir eu des ennuis avec Google alors que vous n'y êtes pour rien. Il est vrai aussi que choisir d'externaliser votre campagne SEO auprès de cette agence du Turkménistan qui vous garantissait la première page de Google pour vos 10 mots clés pour quelques centaines de dollars n'était pas un choix des plus judicieux.

J'ai eu la chance d'interviewer un certain nombre de spammeurs SEO dans ma carrière en tant que journaliste. Malheureusement, ils partagent tous la même obsession pour l'argent facile, le mépris pour les internautes obligés de consommer leur contenu de piètre qualité et la croyance étrangement irrationnelle qu'ils seront toujours en mesure de travailler en dehors des lois.

La bonne nouvelle est que les personnes qui utilisent une approche intelligente du SEO en profiteront effectivement beaucoup plus sur la durée que ceux qui utilisent les méthodes brutes et les tactiques d'optimisation risquées.

Le bon, la brute et le truand du SEO

Durant de nombreuses années, certains "pros" du SEO ont contribué à générer du spam et ont produit un contenu de très faible qualité (pour rester poli). Ils ont pollué les annuaires, bourré les pages de contenu avec des mots clés, spammé les blogs avec des commentaires bidons, acheté et négocié des liens en pagaille etc. Même si c'était mauvais, et parfois très laid, cela a fonctionné car Google le tolérait. C'était la bonne époque du Far West du SEO.

En 2011, Google a publié son premier filtre anti-spam appelée Panda. Jusque là, vous pouviez obtenir la première page de Google en achetant des liens et en affichant des tonnes de contenu de très faible qualité. Mais les mises à jour des algorithmes de Google, aussi bien Panda que Penguin, ont rendu caduques ces vieilles tactiques moisies de fripouille du SEO.

Pour comprendre comment l'algorithme de recherche fonctionne pour afficher votre contenu sur Google (ou sur Facebook), il faut comprendre que le shériff a changé les règles du jeu et nous ne pouvons plus être simplement préoccupé par les "mot-clés". Au lieu de cela, nous devons optimiser notre contenu pour nous rapprocher de ce qui a été saisi dans la barre de recherche.

L'algorithme de Google est essentiellement une machine qui s'efforce de penser comme un humain. Ainsi, ce sont un très grand nombre de facteurs - comme par exemple la réputation de l'auteur - qui déterminent en grande partie la façon dont Google décide de ce qui sera affiché dans les premiers résultats.

Au lieu de courir après l'algorithme de Google, devancez-le en ne vous préoccupant que de l'expérience utilisateur. En 2014, les marketeurs ont besoin d'aligner leur stratégie mot-clé sur l'ensemble du parcours de l'utilisateur, en insistant sur le lien entre le contenu et l'intention (c'est à dire le mot-clé) à travers un profilage méthodique d'audience, la recherche et l'analyse.

Le bon : SEO "white hat"

Le bon, la brute et le truand du SEO

La clé du succès dans le SEO est de se focaliser sur la qualité : du contenu optimisé, du contenu de qualité et la qualité des relations. Avec de la qualité, les utilisateurs et les algorithmes seront toujours de votre côté et pour longtemps.

Contenu optimisé : Optimiser son site web afin que les robots des moteurs de recherche comprennent quelle en est la thématique est une des techniques SEO "on-page" que vous devez appliquer.

Contenu de qualité : Créer un contenu de qualité pour votre cible est à la fois source de partage et de crédibilité. N'hésitez pas à en abuser !

Qualité des relations : Bâtir de vraies relations avec d'autres professionnels de votre secteur permet d'amplifier le partage de votre contenu et augmente vos chances de gagner des backlinks de qualité vers votre site web.

La brute : SEO "Black hat"

Le bon, la brute et le truand du SEO

Le temps s'est arrété en 2011 pour de nombreuses agences de référencement et de consultants SEO. Chaque jour, une nouvelle entreprise propose des prestations SEO à un tarif défiant les lois de la nature (et sans garantie de résultats) pour vous afficher sur la première page de Google pour un certain nombre de mots-clés. Ils vivent encore dans ces villes fantômes de ces vieux westerns.

Le résultat immédiat peut être flatteur mais au final, c'est carrément désastreux si l'une des pratiques suivantes est impliquée :

Achat de liens : Participer à tout type de système d'achat de liens. Payer pour les liens est une violation majeure des Conditions d'Utilisation de Google (coucou Nextlevel ^^).

Acquérir des liens de faibles qualité : Créer manuellement des centaines de backlinks de faibles qualité dans des annuaires ou dans des commentaires. Google n'est pas dupe; le sheriff vous a dans son viseur.

Rotation d'articles : Réécrire et republier du contenu de faible qualité à grande échelle sur le web. Ces liens sont inutiles et à bannir.

Le truand : SEO "spam"

Le bon, la brute et le truand du SEO

Le spam existe sous de nombreuses formes du côté obscur d'Internet et il s'est propagé comme une maladie honteuse se répend dans un saloon. C'est un gros problème pour Google qui cherche constamment de filtrer le spam de ses résultats de recherche. Vous pouvez vous retrouver en position de spammeur et d'être blacklisté de l'index de Google si vous pratiquez l'une des tactiques de SEO spam ci-dessous :

Faux comptes, avis et commentaires : Vous pouvez également être poursuivi et condamné à une amende pour ce type de pratiques.

Contenu spammy : Ces techniques des années 90 comprennent le bourrage de mots clés, les pages satellites ou encore les textes cachés ou invisibles.

Blogs  : Monter des blogs avec du contenu volé ou dupliqué avec des milliers de pages inutiles. Ces sites existent pour la monétisation et n'apportent aucune valeur ajoutée pour l'utilisateur.

Conclusion

Nous sommes en 2014 et la ruée vers l'or du SEO est terminée. Les saloons, les ranchs et les as de la gâchette n'ont plus court et c'est vraiment mieux. Ceux qui regrettent cette période vivent sans doute leurs derniers instants sur le web. Aujourd'hui, c'est l'utilisateur qui doit être la priorité en lui proposant un contenu de qualité.

Pour résumer tout ceci, je dirais qu'il faut avoir en permanence en tête le tryptique contenu, qualite et utilisateur pour avoir un bon référencement en 2014. Qu'en pensez-vous ? Quelle est votre ressenti à ce sujet ? Partageons nos retours d'expérience dans les commentaires.

Daniel Dubois - auteur à web-eau.net

A propos de Daniel

Passionné par le Web depuis 2007, Daniel défend la veuve et l'orphelin du web en créant des sites respectueux du W3C. Fort de son expérience, il partage ses connaissances dans un état d'esprit open source. Très impliqué en faveur du CMS Joomla depuis 2014, il est également conférencier et fondateur du Joomla User Group Breizh.

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